samedi 19 mai 2012

Anne GINIEIS, candidate DLR pour la 8ème circonscription


Chers compatriotes
Agée de 45 ans, je suis infirmière, mariée et mère de 4 enfants de 5 à 18 ans.

J’habite dans le Val de Marne depuis 23 ans et à Charenton le Pont depuis 16 ans.

Je vis le quotidien des familles de ce qu’on appelle encore la classe moyenne même si elle est en voie d’appauvrissement et je constate tous les jours les ravages de la hausse des prix du logement, de l’essence et du « panier de la ménagère ». Je vois l’Education Nationale, qui était la fierté de la France, ne plus arriver à apprendre à lire, à écrire, amener trop d’élèves à quitter le système scolaire sans diplôme et des étudiants surdiplômés au chômage malgré la qualité et le dévouement des enseignants. Je vois les difficultés croissantes de l’accès aux soins avec des mutuelles de plus en plus chères, des rendez-vous de plus en plus longs à obtenir, des dépassements d’honoraires de plus en plus élevés, un hôpital public aux abois qui tient grâce à la bonne volonté de son personnel.

Opposée depuis toujours à cette Europe ultra-libérale, cheval de Troie de la mondialisation sauvage, j’ai voté NON aux traités de Maastricht  en 1992 ainsi qu’au Traité Constitutionnel Européen en 2005.
Si je me suis intéressée depuis longtemps  à la politique mon adhésion au sein d’un parti est assez récent puisqu’il date de 2007 quand j’ai découvert Nicolas Dupont-Aignan lors de la pré-campagne présidentielle : le programme  qui correspondait à ce que j’attendais depuis longtemps, la sincérité de l’homme et le besoin de me battre pour mon pays que je voyais sombrer m’ont conduit à m’engager avec force au sein de Debout la République.
J’ai eu le grand honneur d’être colistière aux élections européennes de 2009 et tête de liste du Val de Marne aux élections régionales de 2010.

Je me battrai à l’Assemblée Nationale pour que la France retrouve sa liberté cédée aux instances technocratiques européennes et rendre ainsi au peuple français le pouvoir d’être réellement maître de son destin.
Je me battrai pour mettre en place un protectionnisme intelligent et sortir de l’Euro, cette monnaie inique des banquiers, pour avoir enfin les leviers pour mettre fin aux délocalisations et réindustrialiser notre pays et pour que les fruits de la croissance ainsi retrouvée profitent à tous.
Je me battrai pour que l’école permette à chaque élève d’avoir un avenir selon ses capacités et ses centres d’intérêt en redonnant ses lettres de noblesse aux filières d’apprentissage et en permettant aux élèves doués scolairement de réussir quelque soit l’endroit où ils habitent et leur origine sociale,  pour que chacun ait droit à la qualité de service public et à la sécurité en ville comme en banlieue ou en milieu rural.
Je me battrai pour que Liberté, Egalité, Fraternité et Laicité ne soient pas de vains mots mais des valeurs fondamentales afin que quelques soient notre origine sociale, notre confession et notre couleur de peau nous nous rassemblions pour redonner ensemble un avenir à la France et à nos enfants !

Christian Lasnier, candidat DLR pour la 1ère circonscription

Avant d'aller plus avant dans mes motivations, voici une brève présentation, j'ai 49 ans à l'heure où j'écris ces lignes, père de 3 enfants 18, 14 et 11 ans. Je travaille comme Chef de Projets dans une grande entreprise ou je gère des projets informatiques.

J'habite dans le Val de Marne depuis plus de vingt ans.

De plus en plus conscient des problèmes actuels, je me suis engagé en politique très récemment. J'ai choisis Nicolas DUPONT-AIGNAN car je suis en accord avec les idées qu'il défend et la vue qu'il a sur la société actuelle.

Les responsables en place aujourd'hui sont coupables de la dégradation de notre système actuel, qu'elle soit politique, économique ou environnementale.
Les responsables qui se sont succédés au cours des dernières années n’ont rien fait pour améliorer la situation, qu’ils aient été de droite ou de gauche n'a rien changé, la situation de la France s’est dégradée d’année en année, la crise que nous vivons actuellement, très loin d’être finie n’est que le résultat de la gestion calamiteuse à court terme de l’oligarchie au pouvoir.

Notre démocratie ne prend pas en compte l'intérêt général, mais plutôt les intérêts privés. Je ne prendrais qu'un seul exemple, les Français avait dit NON à 54,67% à la Constitution pour l’Europe. Que c'est il passé ensuite? ... Les dirigeants ont remodelé le traité à Lisbonne qui est passé par voie parlementaire faisant fi de l'avis du peuple.

Les difficultés que nous vivons aujourd'hui sont en partie issues de ce texte, l’exemple le plus flagrant est la création monétaire. Il est désormais interdit pour un état de se financer directement auprès de sa banque centrale. Mais l’obligation est faite, par l’article 123 du traité de Lisbonne, aux états de se financer auprès des banques privées. Et nous voilà obligés de payer nos dépenses en empruntant auprès «des marchés», avec bien sûr la cohorte de contraintes liées à ce système : dépendance aux agences de notation, taux fluctuant (surtout à la hausse), spéculation sur notre dette, etc.

Comment justifier aujourd’hui que les banques privées arrivent à se financer à 1% auprès de la BCE et que les états doivent passer  "sous les fourches caudines" de ces mêmes banques qui ne vont pas hésiter à prêter à 20% à la Grèce, 6% à l’Espagne et 3% à la France.
 
Ce déni de démocratie n'est qu'un exemple parmi tant d'autres des problèmes qui se posent à notre pays.
 
Je pourrais aussi bien parler des défauts de notre système éducatif, des réductions toujours plus importantes de nos acquis sociaux, de la difficulté pour nos enfants de trouver un emploi ou un logement, etc.
 
Je souhaite partager avec vous mes préoccupations, vous écouter, dialoguer et vous présenter quelles solutions je vous propose de mettre en place afin de nous assurer à tous un avenir meilleur.
  
Christian LASNIER
Retrouvez-moi sur mon blog
Contactez-moi sur: christian.lasnier.dlr@gmail.com 

Elections législatives Le Val de Marne répond présent!

Prolongeant la candidature de Nicolas Dupont-Aignan à l’élection présidentielle, Debout la République va présenter des candidats aux élections législatives dans toute la France, notamment six dans le Val-de-Marne, qui sont :

- 1ère circonscription (cantons de Bonneuil-sur-Marne, Champigny-sur-Marne Ouest, Créteil Nord, Saint-Maur-des-Fossés Centre, Saint-Maur-des-Fossés Ouest, Saint-Maur-la-Varenne)
Titulaire : Mr Christian Lasnier, Chef de projet informatique,
Suppléant : Mr Claude Rochet, Professeur d’Université,

 - 3ème circonscription (cantons de Boissy-Saint-Léger, Valenton, Villecresnes, Villeneuve-le-Roi, Villeneuve-Saint-Georges)
Titulaire : Mme Dominique Stefanoff, Directrice Administrative,
 Suppléant : Mr Norman Charles, Etudiant,

 - 4ème circonscription (cantons de Chennevières-sur-Marne, Ormesson-sur-Marne, Sucy-en-Brie, Villiers-sur-Marne)
Titulaire : Mr Gilbert Chevalier, Ingénieur Technico-Commercial,
 Suppléant : Mr Damien Barataud, Employé de restauration,

 - 5ème circonscription (cantons de Bry-sur-Marne, Champigny-sur-Marne Centre, Champigny-sur-Marne Est, Nogent-sur-Marne, Le Perreux-sur-Marne)
Titulaire : Mlle Julie Guicheteau, Etudiante Infirmière,
Suppléant : Mr Jean-Christophe Savidan, Technicien Supérieur à la Mairie de Paris,

 - 6ème circonscription (cantons de Fontenay-sous-Bois Est, Fontenay-sous-Bois Ouest, Saint-Mandé, Vincennes Est, Vincennes Ouest)
Titulaire : Mr Patrick Chambers, Ingénieur,
Suppléant : Mr Jean-Pierre Demange, Directeur d’Association,

- 8ème circonscription (cantons de Charenton-le-Pont, Joinville-le-Pont, Maisons-Alfort Nord, Maisons-Alfort Sud)
Titulaire : Mme Anne Ginieis, Infirmière,
Suppléante : Mme Michelle Gillet, Infirmière.

Après avoir agi dans l’opposition à Nicolas Sarkozy, nous nous apprêtons à faire de même face à François Hollande ; en effet, tous les deux ont été d’accord pour faire approuver la Constitution européenne que le peuple français avait rejetée lors du référendum de 2005. Le remplacement de l’un par l’autre ne règle rien : la bureaucratie ultra-libérale de Bruxelles détient toujours la majorité du pouvoir et les Etats continuent de devoir s’endetter auprès des banques privées pour se financer.

dimanche 13 mai 2012

Retour sur l’élection présidentielle

Il y a maintenant presque une semaine nous apprenions que François Hollande serait le prochain président de la République Française. Elu par 51.6% des suffrages avec 19% d’abstention et près de 5% de vote blanc ou nul, la victoire de François Hollande est essentiellement due au rejet de son prédécesseur comme le confirme un sondage CSA Malgré l’étrange campagne présidentielle qui a ignoré les enjeux principaux que sont la crise de l’Euro et la désindustrialisation de notre pays, de nombreux électeurs de François Hollande sont lucides et, s’ils espèrent une autre présidence dans la forme, restent sceptiques sur un réel changement de fond. Le futur président n’aura pas droit un l’état de grâce. Bien au contraire la crise politique grecque , les sombres nouvelles espagnoles et la révision à la baisse de la croissance de la zone Euro (http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/dette-recession-chomage-une-crise-immense-frappe-l-espagne-27-04-2012-1455890_240.php) vont le contraindre à affronter la triste réalité. François Hollande s’est fait fort durant la campagne de renégocier le pacte de discipline budgétaire pour y joindre un volet sur la croissance. Mais avant même son investiture, les déclarations d’ Angela Merkel et du ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle ressemblent déjà à s’y méprendre à une fin de non recevoir. Comme l’affirme Jacques Sapir François Hollande n’aura d’autre solution, s’il veut respecter sa promesse, que d’ ouvrir une crise avec l’Allemagne. Mardi 15 mai au matin notre nouveau président sera investi, il rencontrera l’après-midi même Angela Merkel. Ou il résiste et engage une crise salutaire, ou les Français sauront alors qui détient réellement le pouvoir à la tête de la République Française. Anne GINIEIS